Collège Antoine De Saint-Exupery

Collège – Savenay

Loire Atlantique
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Retrouvez les titres du défi Babelio cachés dans ces textes des BaBeBooks

« Your name please, dit la femme au guichet
– Flora Banks
– Ok »
La femme me parlait en anglais, je venais bien d’arriver en Amérique, aux États Unis
« Et lui ? Me dit-elle
– Sirius
– Ok, vous pouvez partir »
A la sortie du bâtiment, on vit une ville magnifique mais surtout grandiose et démesurée. Mon frère a dix ans et moi dix-sept, il a l’air émerveillé à l’idée de se promener dans les rues de cette charmante ville qu’est New York. On devait rejoindre nos parents car on emménageait ici.
Je sortis mon portable pour trouver le GPS.
« Ok, alors… Rue Butterfly numéro 12, et le numéro de notre appartement, c’est 101
– Ok c’est parti !
– Oui et il faut qu’on arrive avant la nuit car demain il sera trop tard, papa et maman seront partis au travail
– Ok, allez, on y va »
L’immeuble était à l’autre bout de la ville, il fallait qu’on s’attende à rester debout toute la journée. Soudain, nous entendîmes un BOOM, il venait d’y avoir un accident mais les gens était déjà attroupés autour des deux voitures pour leurs venir en aide. Alors on continua notre chemin jusqu’à arriver devant un parc nommé Ueno Park, on décida d’y déjeuner.
Une dame s’approcha de nous pour nous demander le chemin, je lui répondis que je n’étais pas d’ici et elle comprit tout de suite. On lui proposa de rester manger avec nous (proposition qu’elle accepta). La femme s’appelait Avril et sa fille Stacy. La fille d’Avril jouait dans l’herbe quand nous dîmes au revoir à elle et Avril.
On passait par Broadway pour continuer notre marche et on était content d’avoir pu voir et traverser ce quartier connu quand on atteint ses limites : « Broadway limited ». Les petites victoires sont les meilleures comme le disent si souvent nos parents.
« Flora, c’est quand qu’on arrive ?
– On a déjà fait la moitié du chemin, Sirius !
Ok »
C’est ça que j’aime avec mon frère, nous sommes inséparables, c’est un peu comme… mon âme frère.
« Regarde la femme là bas, la tresse qu’elle a est très belle, tu devrais t’en faire une un jour !
– Oui c’est vrai que c’est joli, je verrais »
On arriva dans la rue Beastars quand le jour laissa place au noir de la ville. Apparemment, dans cette ville, il faut faire très attention car un groupe nommé Dancers , blacklisté par la police, vient pour dépouiller et effrayer les gens. Ce sont des idiots.
Désormais la lune est à nous, dit on frère. il faisait complètement nuit.
« Rapproche-toi de moi Sirius
– Oui d’accord
– T’inquiète pas ça va aller !
– Ok »
Au fond de moi, j’avais un peu peur d’être la proie de ces gens. Alors on continua de marcher le cœur battant avec un rythme plus rapide. Mais quand on tomba sur un groupe de jeunes vêtus de noir, on comprit qui ils étaient.
« Salut
– …
– Ton sac est bien joli, il y a quoi à l’intérieur ?
– Je ne vous le donnerais pas
– C’est ce qu’on va voir »
Mais avant que j’ai pu réagir, un homme arriva et les fit fuir. On le remercia et il nous dit qu’on avait eu beaucoup de chance, celui-ci rentrait chez lui avant de venir nous aider. L’homme qui voulait rentrer chez lui marcha un dizaine de minutes avec nous avant de repartir en direction de sa maison.
On arriva enfin devant l’immeuble de notre appartement, on prit l’ascenseur afin d’arriver devant celui-ci : n°101. Nos parents nous ont fait un énorme câlin en arrivant.
« Comment s’est passée votre petite escapade ?
– Bien
– Mal
– Qui ment ?
– Nous deux ! Dîmes mon frère et moi d’une même voix, en rigolant.
– Alors ?
– Moyen mais ne vous inquiétez pas, on va bien »
Sirius partit pour voir sa chambre (après avoir raconté notre traversée) et moi aussi. Ma chambre est très belle et je vis une chose sur ma table de nuit qui attira mon attention, mon livre préféré : L’odyssée d’Hakim. Et mon frère, lui, avait eu un nouveau jouet. On était content d’être enfin arrivés, cette journée avait été « hors du commun ».

Lou

Il reste dix jours avant la fin du monde, voila ce qu’avaient dit des historiens, mathématiciens, physiciens.
Moi et mon frère, Sirius, nous ne connaissions pas cette nouvelle avant. On l’a apprise une semaine après l’annonce. C’est Mme Butterfly, la directrice de la pension The Promised Neverland, qui nous a appris la nouvelle. Tout le monde s’est mis à crier, pleurer, courir.
Tous les pensionnaires se sont enfuis, on était dix à y rester.
Je ne croyais pas à cette fin de monde, mon frère disait que c’était faux, mais comment savoir qui ment ?
« Il faut attendre l’heure et puis on verra bien », dis-je .
Avec mon frère, nous avons lu les chroniques d’une survivante pour que nous arrivions à sortir vivant de cet événement.
Il restait 5 minutes avant la fin du monde, avec mon frère nous avons attendu à cœur battant, la faucheuse.

MATEO

C’est le journal d’un enfant de la lune ou la faucheuse s’est fait blacklistée dix jours avant la fin du monde, mais il faut rester debout car Sirius à dit que demain il sera trop tard pour tuer l’homme qui voulait rentrer chez lui avec ses frères.
De son vrai nom Flora Banks, elle chassait la proie qui l’avait blacklistée, a cœur battant , elle le surprit et le noyât la tête sous l’eau, sa tête devint : noire !

REMI

Dix jours avant la fin du monde, c’est la panique.
On a tous le cœur battant, mais pas d’amour, de peur, peur de se dire que demain il sera trop tard pour réaliser nos rêves.
J’habite dans une famille de dix enfants, nous sommes tous orphelins. Dans la famille on m’appelle « la fille d’avril » car je suis la seule fille et la seule à être née en avril. Mais mon vrai prénom c’est Flora Banks.
Moi et mes frères allons nous soutenir jusqu’au bout. Nous allons tous réaliser nos rêves ensemble, nous sommes inséparables.
Il nous reste dix jours pour dix rêves, on a tout planifié. On veut profiter au maximum avant la fin, sans penser au négatif, aux mauvais souvenirs… Nous allons vider la cagnotte jusqu’aux derniers centimes.
Aujourd’hui nous partons pour l’océan pacifique, voir les dauphins et nager avec eux. Tellement excitée. Nous allons réaliser le rêve de Sirius. Demain nous partons pour la Chine manger des scarabées, étrange mais super original puis ensuite c’est mon tour, c’est mon rêve. On part pour le dessert du Sahara, faire un saut en parachute. Après c’est le tour du plus petit, on se dirige vers Disneyland. On va tellement s’amuser. Ensuite direction Paris, New-York, Los Angeles, l’Alaska, Dubaï et pour finir on retourne en France voir la tombe de nos parents pour leur montrer notre amour et leur déposer nos plus gros et beaux bisous.
J
e dois vous laisser on m’attend. C’est parti pour profiter au maximum de notre voyage sans penser au dernier dix jours qu’il nous reste.

LEANE

Je m’appelle SIRIUS. Je vis avec Alex; lui et moi sommes FRERES. Etant petits nos parents nous appelaient les INSEPARABLE car nous faisions toujours tout ensemble. Un jour nous nous baladions en forêt lors d’un après midi mais nous ne attendions pas à ce qui allait nous arriver. Au bout de 20 minutes à nous balader nous virent une jeune femme courir dans notre direction. Elle semblait paniquée. Après avoir repris ses esprits, elle nous raconta qu’elle s’appelait FLORA BANKS elle qu’elle venait de s’échapper d’un vaisseau alien qui projetait de détruire la Terre. Tout cela semblait absurde, cette dame affirmait que nous étions à DIX JOURS AVANT LA FIN DU MONDE, évidemment je ne la croyais pas mais ce n’était pas le cas d’Alex qui la crut grâce à l’honnêteté qu’il perçut dans sa voix. Quelques secondes après ce moment, une autre femme qui prétendit se nommée LA FAUCHEUSE arriva suivie de DIX personnes qui semblaient être ses disciples. Elle prétendit également que Flora était une femme atteinte de folie qui s’était échapper de l’hôpital psychiatrique. Je demandai à Alex: «A ton avis, QUI MENT?». Après avoir discuté nous avions choisi la voix de la raison et livrer Flora à LA FAUCHEUSE (bien que son nom ne disait rien qui vaille) car nous ne voulions pas attirer les ennuis. Cependant nous avions fait le mauvais choix car effectivement dix jours plus tard les aliens ont envahi la Terre et il ne reste plus que quelques survivants qui tentent de ne pas se faire tuer par ces êtres venu d’ailleurs.

ADAM

Elle me parle du journal d’Anne Frank , elle parle d’un film qui s’appelle dix jours avant la fin du monde :
Dix frères qui racontaient les dix derniers jours avant la fin du monde. la vie autour des frères était noire sombre sans signe de vie. Chaque jour qui passait était comme une bombe a retardement avant le boom final. Les derniers jours étaient vraiment dur.
Un des frères dit une phrase qui fit prendre conscience a tout le monde la phrase était :
demain il sera trop tard , c’est a se moment que les dix frères se rendis conte qu’il fallait profiter pendant qu’il est encore temps car demain ils ne seront plus des humains a cœur battant.

Brahim

Nous étions DIX FRÈRES INSÉPARABLES mais l’un de nous avait assassiné nos parents . A partir de là , QUI MENT ? Nous devions RESTER DEBOUT, Henri , était LÀ PROIE des harceleurs du collège il s’était peut être vengé à sa manière ? Tout du moins ceci a foutus NOS VIES EN L’AIR a tous et pour toujours.

Jean

Dix, et oui, plus que dix jours avant la fin du monde… On est en plein apocalypse depuis maintenant un an et dans dix jours plus personne n’existera sur cette Terre. Comment je sais que la fin du monde est dans dix jours ? Et bien parce qu’il reste encore des astronomes et qu’ils viennent de nous annoncer qu’une météorite fonçait droit sur la Terre et qu’elle l’impacterait dans dix jours.
Alors depuis ce matin, tout le monde fait ce qu’il veut et profite des derniers jours. Moi, je reste avec mes frères, je suis la plus jeune de nous trois et nos parents sont morts il y a six mois déjà. Mon père est mort d’une infection des poumons et ma mère a été assassinée par le leader d’un clan. Depuis, mes frères et moi sommes devenus inséparables et nous essayons de nous cacher car le leader veut notre tête à tous les trois. Alors, c’est le cœur battant que nous rejoignons notre cachette. Mes frères m’ont appris qu’il ne fallait jamais rester debout quand on entendait des bruits de pas ou un bruit de moteur car seul le leader et ses bras droits possédaient des véhicules.
Quand nous sommes arrivés « chez nous » mes frères m’ont demandé de m’assoir, il voulait me parler du fait qu’ils avaient entendu des rumeurs qui disait que le leader me cherchait en particulier car pour lui, j’étais la proie la plus facile à attraper. Alors je leur dis qu’il ne nous reste que dix jours a vivre et qu’il faut en profiter.
C’est ce qu’on fit, les jours passèrent et les petites victoires s’enchainaient, le leader ne m’avait pas encore trouvée. Puis, le dernier jour avant la fin du monde arriva, je me fis la tresse que ma mère me faisait tous les jours pour me préparer à vivre la fin du monde, parce que, demain il sera trop tard.

LILOU

D’après les informations, il ne nous reste que dix jours, dix jours avant la fin du monde.
Ma famille, mes frères et moi nous sommes donc réfugiés dans un des bunkers que l’armée a construit avec des dizaines d’autres familles. Il y a peu de place, les adultes doivent donc rester debout pour laisser assez de place aux adolescents et aux enfants pour que l’on puisse s’asseoir.
Pour s’occuper les enfants font toutes sortes de choses : une mère tresse les cheveux de sa fille en une magnifique tresse, la tresse que j’ai toujours rêvé de savoir faire ; un petit bébé sert son doudou contre lui comme une mère tient son enfant, ils sont inséparables ; d’autres jouent à pierre-feuille-ciseaux et chacune des petites victoires est accompagnée de petits cris de joie.
Les adultes, eux, parlent des rumeurs qu’ils ont entendues sur la fin du monde, certains disent que la mer montera d’un seul coup et que l’on finira tous la tête sous l’eau, d’autres parlent de plusieurs bombes nucléaires qui enverraient toutes nos vies en l’air et je m’imagine alors les « boom » incessants que celles-ci produiraient et enfin les derniers pensent que nous seront la proie d’une ombre noire qui nous tuerait tous les uns après les autres. Avec toutes ces théories, je me demande : qui ment ? Plus tôt dans la journée, un homme est sortit, je l’ai entendu dire aux adultes qu’il préférait vivre ses derniers instants de vie chez lui plutôt qu’entassé dans un bunker. Suite à cela, les adultes ont parlé de lui pendant longtemps et comme ils ne connaissaient pas son nom, ils l’ont nommé « l’homme qui voulait rentrer chez lui ».
 Pour s’occuper, les adolescents se distinguent en deux groupes : le premier parle en anglais, j’entends des morceaux de phrases et des mots comme : « dancers », « butterfly », « Broadway limited » ou encore « kill the indian in the child », « the hate U give », « the promised neverland » ou « your name ». Les adolescents du deuxième groupe, eux, parlent des personnages de film ou de livres qu’ils préfèrent comme Sirius Black dans Harry Potter, la faucheuse, Jacob Black dans Twillight ou encore Hakim de l’Odyssée d’Hakim, moi je ne connais que l’odyssée d’Homère avec Ulysse, j’ai donc dû mal comprendre.
Et enfin, il y a moi, Flora Banks, à l’écart de tout le monde, blacklistée par les autres, le cœur battant, écoutant « les maux bleus », écrivant dans mon journal intime, mon âme frère, les derniers instant de ma vie puisque demain il sera trop tard comme Anne Franck écrivait son journal d’Anne Franck. Il ne me reste plus qu’un titre à donner à ma journée, peut-être chroniques d’une survivante si je survis une journée de plus ou journal d’un enfant de la lune puisque je suis enfermée dans une pièce, privée du soleil sous une lumière artificielle qui me dit « je suis ton soleil ».

LEILA

Nous étions dix à rester debout avec la tête sous l’eau noire, il y avait mon frère Sirius avec le cœur battant.
Demain il sera trop tard, maintenant on attend la faucheuse. On ne pourra plus danser, mais on sera inséparable avec mon frère.
Les scientifiques cherchent encore The Promised Neverland, certains disent qu’il reste dix jours avant la fin du monde et les japonais disent que la lune est à nous mais comment savoir qui ment ?

MATEO

Il y a 355 jours un prénommé Mikael qui se fait appeler « le Freezer »du à son arme de cryogénisation a déclaré qu’il allait détruire la Terre d’ici un an. Ce qui fait qu’il reste dix jours avant la fin du monde.
Mais nous dix ,tous frères de cœur avons une mission, il y a 2 mois le général BEASTARS nous a demandé de rentrer dans le vaisseau du Freezer et de l’incendier c’est pour cela qu’il ne faut pas baisser les bras mais rester debout.
Le problème c’est que quand ma sœur Avril est morte elle m’a demandé de prendre soin de sa fille, et le problème avec les femmes c’est que pour rien au monde elles ne laisseraient tomber leurs enfants. Mais le problème c’est que la fille d’Avril est la proie car c’est la fille à la tresse noire, si c’est elle le problème c’est aussi elle la clé de la réussite, la clé qui nous permettra de vaincre le Freezer, la clé qui nous permettra de lui tendre un piège.
Nous n’avons pas que perdu toutes les petites victoires nous ont permis de voir à quel points nous sommes inséparables. Là nous sommes à quelques mètres de notre but, à environ 100 mètres devant nous se trouve le vaisseau du Freezer en plein sur Ueno park le plus grand immeuble du centre ville. Mais pour cela nous devons mettre la tête sous l’eau pour échapper aux drones tueurs, les « Sirius » comme l’armée du Freezer les appelle.
Quand la fille d’Avril est rentrée dans l’eau, nous avons entendu un grand « Boom », nous n’avions pas remarqué que sa tresse noire commençait à dégénérer. Les cheveux avaient créé en contact avec l’eau, une sorte d’onde de choc qui avait abîmé le lance flamme atomique, il fallait le réparer, mais quand je vis l’ampleur des dégâts j’ai directement compris qu’il faudrait plus d’un jour pour le réparer. Mais je savais que demain il sera trop tard et c’est à ce moment que j’ai compris que j’avais nos vies en l’air.

Romain

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« Salut, moi c’est Tom, je suis un peu l’homme qui voulait rentrait chez lui car là je me trouve avec mes frères et Flora Banks et nous sommes dix jours avant la fin du monde. Flora est ma petite amie, nous sommes inséparables, elle est noire, grande, et a la tresse la plus belle au monde, elle me répète souvent ‘’ je suis ton soleil’’, je trouve cela mignon ! Mais le problème avec les femmes c’est qu’elles parlent trop ! Flora me raconte toujours l’histoire du Journal d’Anne Franck, et du journal d’un enfant de la lune. Malheureusement Flora, mes frères et moi sommes bloqués depuis dix jours dans une prison, car nous sommes prisonniers d’une Guerre qu’on nomme ‘’ la faucheuse ‘’ et la prison s’appelle ‘’ l’Odyssée d’Hakim’’.
D’un coup on n’entend BOOM ! J’ai le cœur battant à plus de 1000kmh, nous avons peur ! Le gardien nous dit de ne pas bouger et de rester debout. Mes frères disent que c’est des bruits de canon mais le gardien les contredit et dit que c’est juste une armoire qui est tombé qui croire ? Qui ment ? Je pense que mes frères ont raison, nous sommes tout de même en guerre.
Les heures passent et il est temps d’aller se coucher, ce soir la lune est à nous car c’est la pleine lune, j’espère que ça va nous porter bonheur. Avant de me coucher dans les bras de Flora je repense à ma mère Sirius, je repense à sa phrase qu’elle me répété petit ‘’demain il sera trop tard’’ cela me fait pleurer car elle est morte il y a 4 ans, c’était la proie d’une maladie qui l’a tuée au Broadway Limited, l’hôpital le plus réputé d’Amérique.
Heureusement que dans ma vie il me reste mon père, mon âme frère, je lui raconte toutes mes histoires et nous aimons les mêmes films ‘’the promised neverland,butterfly,yourname,beastars, the hate U Give, kill the indian in the child, les maux bleus’’ mais notre préféré c’est «  blacklistée », on appelle note mère « la fille d’avril » car elle nous faisait tout le temps des blagues, elle était super drôle, je repense à toutes les petites victoires face à maman quand on jouait aux cartes, mais tous cela c’est terminé : je suis enfermé dans une prison ou je fais des cauchemar toutes les nuits, celui qui me traumatisé le plus c’est celui qui parle de la tête sous l’eau car j’ai la phobie de l’eau.
J’en ai marre de cette prison nul, moche, petite, je veux retrouver mon ancien Ueno park où je jouais au ballon avec mes frères, je veux réécouter ma musique préféré «  dancers », je ne veux pas vivre les chroniques d’une survivante de prison . Je prie à cœurs battants pour que nos vies en l’air cessent de continuer car ma chérie Flora et mes frères voulons retourner chez nous et que la guerre cesse. »

ILONA

Le confinement venait de commencer et les dix frères commençaient déjà à s’inquiéter. Ils étaient persuadés qu’ils leurs resteraient dix jours avant la fin du monde, ils étaient inséparables par peur de mourir du confinement. Ils passaient leurs temps à jouer, manger et dormir jusqu’au jour où le président Emmanuel Macron et ses collègues annoncèrent a cœurs battants que demain il sera trop tard pour récupérer des masques afin de subsister. Le stress, la panique tout était présent en même temps. Cinq jours se sont écoulés et la situation n’a pas changé d’un pouce, les dix frères ne se parlent plus ils sont déprimés quand soudain, Boom ! Un claquement de porte très violent eut lieu. Thierry ,l’aîné de la fratrie, répliqua : « Venez, venez ! Il y a un homme qui est dehors sans masque devant une maison !» Effectivement il y avait un homme qui avait la quarantaine, il était barbu et grand,
«- Chérie laisse moi entrer voyons ! Dit l’homme sans masque
-Non tu es contaminés on ne veut plus de toi ici maintenant ! Répondit la femme de l’homme sans masque »
Quelque minutes après , l’homme qui voulait rentrer chez lui succomba devant les dix frères.
«- C’est ça le problème… Dit Simon le plus jeune des frères
-Comment ça ? Répliqua Thierry
-Bah c’est ça le problème avec les femmes , elles ne pourrait être solidaires avec des contaminés , heureusement qu’il n’y en a pas avec nous sinon elle aurait pu mettre nos vie en l’air… Expliqua Simon
-Tu as peut-être raison Simon. Dit Thierry d’un air épuisé

TRISTAN